Vroum Vroum Vroum.... Vrouuuuuuum !!!
Et là, la tribu "Des Livres à rire et à vivre", je sens que je suis en train de vous perdre. Mon état mental te préoccupe-t-il à ce point-là ? ça tombe bien, on va évoquer aujourd'hui le lâcher prise et la part d'enfance. Suis-moi ! (Oui tu peux emprunter le van)
De par son statut d'adulte, l'être humain oublie trop souvent qu'il a été cet enfant qui s'amusait d'un rien. Laquelle d'entre vous n'a pas promené Barbie chez Sephora, pour lui faire essayer le nouveau rouge à lèvres en promo, pendant que maman avait le dos tourné, occupée par les moins 30% sur les eyeliners, ne peut pas réaliser à tel point ce geste hautement subversif a pu l'amuser follement.
C'est cet appel à l'enfance que je cherche à réveiller au travers mes romans. Rien que d'observer cette image, m'évoque un flux de réflexions plus ou moins absurdes.
S'il se met à pleuvoir, les touches S, D, F,G ,H,J, K seront bien protégées des gouttes, mais pas la touche "L"
Et pourquoi pas la "L". Le van serait-il en panne ?
Et d'abord, qui l'a obligé à rouler sur un clavier d'ordi ? A-t-on le nom du chauffard ?
Pourquoi la roue avant droite est-elle au niveau du point d'interrogation ? Est-ce un code secret ? Suspect n'est-ce pas...
D'ailleurs pourquoi le rédacteur de l'article, juge-t-il judicieux de placer un point d'interrogation à la suite du terme "point d'interrogation" ?
Comme tu viens de t'en rendre compte, un rien suffit à me faire décoller. Tu as raison , "déconner" serait un mot plus approprié. 1 bon point pour toi !
Un autre bon point, si tu es allé vérifier les touches à l'abri sur ton propre clavier, au cas où le van viendrait rouler dessus. Mon conseil, bâtir un mur de trois bons mètres de haut de chaque côté de celui-ci pour l'abriter de ce genre de d'inconvénient. Et pense à installer un toit, en cas de pluie ou de postillons intensifs.
Poursuivons notre observation, que remarques-tu immédiatement dans la photo ci-dessous ?
Si tu suis mon raisonnement, tu te dis que le con aurait quand même pu ôter la poussière de ses touches.
Bien pensé , mais tu fais erreur. Si je l'ai pas fait, c'est parce que j'attendais qu'il pleuve.
Pendant que tu me livrais ton avis, t'as sans doute pas remarqué que les essuie-glace du van, étaient en mouvement, alors que moi si.
Les plus rusés m'objecteront que le pare-brise n'était même pas mouillé. Normal, les essuie-glaces venaient de balayer les gouttes.
Toute cette folie-là tu vois, je continue à l'entretenir, bien plus que mon clavier ok, mais je ne tiens pas à ce que que mon cerveau s'empoussiérise (verbe du premier groupe que j'évite d'employer à l'imparfait du subjonctif, c'est déjà assez chiant comme ça, et je m'appelle pas Thierry Bescherelle )
Tout ça pour te rappeler que tout peut donner lieu à un départ de roman.
Me vient une idée. Et si on jouait ensemble ?
Donne-moi la première phrase qui te passe par la tête, et j'essaie de t'en faire un début d'histoire.
Habitue-toi à jouer avec les situations. Fais appel à ta naïveté d'enfant, à la perception du monde que tu t'en faisais petite, et très rapidement, tu seras capable de faire naître des situations de trois fois rien.
Et surtout, cultive ton second degré !
Là tu m'as mal compris. C'était une image.
C'est malin, maintenant tu vas avoir les mains crado, et en foutre partout dans la cuisine. Pire encore, tenter de les essuyer dans le torchon à carreaux, sans les avoir passées sous le robinet d'eau tiède. (celui du milieu)
Conclusion !
Elle est où ta conclusion ? vas-tu me répondre (tu vois, j'anticipe)
Dans le mot conclusion ! Fin du débat.
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